20/09/2005
Sursis
Elle tendit ses mains fébriles et agitées,
en dernier appel, en dernier don.
Voyant cela, la solitude, en gage, déposa ses armes.
20:35 Publié dans Un peu de poésie | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
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Elle tendit ses mains fébriles et agitées,
en dernier appel, en dernier don.
Voyant cela, la solitude, en gage, déposa ses armes.
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Commentaires
mmm mmm. Où est passé mon livre sur l'interprétation des Rêves, de Freud ?
Écrit par : Paxatagore | 21/09/2005
Les commentaires de Paxatagore: mystérieux et décalés... Cet homme n'est pas fait comme nous. :o)
Écrit par : pikipoki | 21/09/2005
Les commentaires sont fermés.